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#1 19-09-2005 02:33:30

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vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

Bienvenue sur le topic= Vu et lu Sur= Un article sur le web, dans la presse vous a plu , interpellé? poster le ici et reagissez. Citez les sources et insérez un lien vrs la page de la news.. merc

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Les chasseurs de pirates du Net se tirent dans les pattes
Deux sociétés devaient traquer les téléchargements illégaux de musique et de jeux vidéo en France... Mais l'une accuse l'autre de contrefaçon.

Par Florent LATRIVE
jeudi 15 septembre 2005



cela devait être la phase II de la traque aux copieurs de musique gratuite via les services d'échange peer-to-peer (P2P). D'ici à quelques jours, les producteurs de musique et la Sacem devaient automatiser le repérage des «pirates» de l'Internet grâce à des prestataires techniques spécialisés. Et ainsi multiplier les procès et les messages d'avertissement pour endiguer l'usage du P2P accusé de torpiller les ventes. Espoir déçu car l'affaire tourne à la farce, avec des poursuites judiciaires entre prestataires, les données personnelles de pirates présumés traitées au Canada pour échapper à la loi française. Et beaucoup de gêne du côté des producteurs...

Fichiers. Tout commence avec la volonté de la filière musicale de s'attaquer aux fans du P2P en 2004. Très vite, ils butent sur la loi informatique et libertés, qui interdit de surveiller automatiquement les réseaux, ce qui implique la constitution de fichiers d'infractions avec des données nominatives. Les producteurs déposent tout de même quelques dizaines de plaintes durant l'été 2004, mais en sont réduits à collecter les preuves à la main. Longuet et peu efficace.

Compréhensif, le gouvernement toilette la loi en août 2004. Deux firmes françaises se présentent pour automatiser la chasse, CoPeerRight Agency et AdVestigo. Le premier à se lancer est le secteur du jeu vidéo, via son syndicat professionnel, le Sell, qui signe avec CoPeerRight et obtient le nécessaire aval de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) en avril dernier. Des milliers de messages d'avertissement sont expédiés à travers les services P2P aux usagers pris en flag' de téléchargement de jeux vidéo. De leur côté, la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP) et la Sacem s'engagent avec AdVestigo et constituent un dossier pour la Cnil, dont le feu vert était attendu pour les jours à venir. Objectif : expédier des messages d'avertissement, mais aussi accumuler des preuves pour multiplier les procès contre les internautes.

C'est là que tout dérape. Avant l'été, le délégué général du Sell, Jean-Claude Larue, et le directeur général de CoPeerRight, Stéphane Michenaud, s'empaillent violemment. Le contrat est rompu et la surveillance des réseaux s'arrête. Et début juillet, CoPeerRight intente un procès à AdVestigo, à la SCPP et à la Sacem pour contrefaçon de sa technologie de chasse aux pirates : «Nous possédons un brevet sur ce qui touche à la recherche et à l'identification sur les réseaux P2P depuis 2003», justifie la responsable juridique de CoPeerRight, Deborah Signori. Qui accuse donc AdVestigo et l'industrie du disque d'avoir piraté sa technologie antipirates. AdVestigo nie, bien sûr, jugeant «peu crédibles» ces accusations.

Audit. Déjà cocasse, la situation a encore pris une tournure plus absurde ces derniers jours : tous les adhérents du Sell ont reçu un e-mail de relance commerciale de la part de CoPeerRight, avec un audit des réseaux P2P réalisé fin août, donc bien après la rupture du contrat. Objectif ? Démontrer que, depuis l'arrêt des envois de messages d'avertissement, les téléchargements gratuits de jeux vidéo seraient repartis à la hausse. Audit réalisé, précise le courrier, «via notre filiale canadienne pour nous conformer aux législations nationales». Logique : n'étant plus sous contrat avec le Sell, CoPeerRight n'a plus le droit de faire des traitements en France et a préféré le Canada, plus laxiste avec la vie privée. Est-ce à dire que la firme garderait des fichiers de pirates présumés ? «Nous n'avons gardé aucune trace et tout est rendu anonyme, affirme Deborah Signori, mais le seul fait d'explorer les réseaux nous est interdit par la loi française.»

Les producteurs de disques, qui attendaient le feu vert de la Cnil pour les jours à venir, se seraient bien passés de ces embrouilles. «Ça nous ennuie terriblement, on est pris en sandwich dans un conflit dans lequel nous n'avons aucune responsabilité, dit Marc Guez, le directeur général de la SCPP. On a l'impression que CoPeerRight est en train de s'écrouler et fait tout pour garder ses clients.» La SCPP attend les conseils d'experts juridiques pour décider de l'attitude à adopter. Les usagers du P2P ont encore gagné un sursis.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=323772

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#2 19-09-2005 02:40:44

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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

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Ventes de disques stables grâce au téléchargement

lundi 05 septembre 2005 (Reuters - 12:49)



PARIS - Les revenus issus des ventes de disques ont été stables en France au premier semestre, le recul des ventes physiques ayant été compensé pour la première fois par les téléchargements légaux sur internet et sur téléphones portables.

Une baisse de 2,7% à 398 millions d'euros du chiffre d'affaires des ventes de gros hors taxes et nettes de remises par rapport au premier semestre 2004 a coïncidé avec une hausse de 5,1% des volumes, a annoncé le Syndicat national de l'édition phonographique (Snep).

"Notre sentiment est ambivalent, on a une reprise des volumes mais les prix ont baissé. Les chiffres sont en partie favorables mais la situation reste compliquée", a déclaré Gilles Bressand, président du Snep, lors d'une conférence de presse.

Les ventes de gros hors taxes s'établissaient à 577 millions d'euros au premier semestre 2002, à 525 millions au S1 2003 et à 409 millions au S1 2004.

Les ventes de détail ont reculé de leur côté de 11,7% à 576 millions d'euros au premier semestre contre 652 millions au premier semestre 2004, les volumes progressant de 4,8%, selon les données relevées par Ifop/Tite Live à partir d'un échantillon d'environ 900 points de vente et communiquées lundi par le Snep.

Les ventes en ligne des majors (BMG France, EMI Music France, Sony Music France, Universal Music et Warner Music France) ont doublé à 11,3 millions d'euros contre 5,8 millions au premier semestre 2004, l'essentiel du chiffre d'affaires provenant du téléchargement de sonneries.

Le chiffre d'affaires des majors issu téléchargement légal sur internet est ainsi passé à 3,8 millions d'euros contre 0,8 million au premier semestre 2004, tandis que les ventes sur téléphone portable sont passées à 7,5 millions contre 5 millions sur la même période de l'an dernier.

"Pour l'instant, les ventes sur téléphone portable concernent essentiellement le téléchargement de sonneries", a précisé Hervé Rony, directeur général du Snep.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=321410


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#3 19-09-2005 02:46:16

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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

Nouveaux procès pour piraterie contre des internautes américains

mercredi 31 août 2005 (Reuters - 20:27)



LOS ANGELES - L'association américaine représentant l'industrie du disque a lancé mercredi une nouvelle série de procès pour infraction au droit d'auteur contre 754 personnes accusées d'échanger illégalement des chansons sur des plates-formes en ligne.

Les plaintes ont été déposées auprès de plusieurs tribunaux fédéraux de district, notamment en Californie, au Colorado, en Géorgie, au Missouri, dans l'Etat de New-York, en Pennsylvanie, en Virginie et à Washington DC.

Les grandes majors du disque, représentées par la Recording Industry Association of America (RIAA), ont engagé jusqu'à présent plus de 14.000 procès du genre depuis septembre 2003.


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#4 22-09-2005 19:29:26

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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

Bière à gogo pour les fans du club qui battra le Bayern
[2005-09-22 18:19] source reuter/ portail de free

FRANCFORT (Reuters) - Un brasseur allemand offre 10.000 litres de bière aux supporteurs de l'équipe de première division allemande qui parviendra à faire chuter le Bayern Munich, invaincu depuis quinze rencontres.

Le club bavarois domine outrageusement la Bundesliga. Il a remporté au printemps dernier les neuf derniers matches du championnat 2004-2005 et s'est adjugé un énième titre.

Cette saison, il a gagné ses six premières rencontres et possède déjà quatre points d'avance au classement sur ses poursuivants.

"On veut essayer de mettre un peu d'excitation là-dedans. On n'a rien contre le Bayern mais il faut essayer de créer un peu de tension", a déclaré un porte-parole de la brasserie Bitburger, qui relevera son offre de 1.000 litres à chaque victoire du Bayern.

La bière coulera-t-elle à flots samedi à Hambourg ? Le club local, deuxième, y reçoit les Munichois.


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#5 09-10-2005 09:24:15

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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

Article paru sur le site GenerationNT...http://www.generation-nt.com/


000000007830.jpg"Le Gouverneur du plus riche état des Etats-Unis veut empêcher la diffusion de jeux vidéo violents aux enfants.


Ancien acteur américain d'origine autrichienne, Arnold Schwarzenegger a beau avoir incarné plus souvent qu'à son tour des héros musclés, et parfois même sans scrupules, il n'en demeure pas moins un père inquiet du devenir de sa progéniture. Aussi, lorsqu'une loi votée par le Sénat de Californie a-t-elle atterri sur son bureau, le Gouverneur de l'état le plus prospère outre-Atlantique s'est-il décidé à la signer, rendant ainsi son application possible dans les plus brefs délais.

Une fois n'est pas coutume, "Schwarzy" a donc donné raison aux associations qui exigeaient la mise en place d'une législation plus restrictive dans ce domaine.

On se souvient que dans le courant de l'été, l'éditeur de jeux Take Two Interactive Software s'était attiré les foudres de nombreux parents lorsqu'une scène de sexe explicite avait été découverte dans sa dernière production, le très lucratif "Grand Theft Auto: San Andreas". Le jeu avait même dû être retiré un temps de la vente, avant de réapparaître affublé de la classification "pour adultes seulement".

En prenant position contre le groupe de pression des éditeurs de jeux, le Gouverneur de Californie prend un peu le public à contre-pied, puisqu'il ne s'était jusqu'ici jamais exprimé sur le sujet. Les professionnels du jeu semblaient attendre de sa part plus de latitude. Ils en seront pour leurs frais.

Dans les faits, une amende de 1.000 dollars sera infligée à quiconque vendra ou louera un jeu violent ou au contenu trop explicite à un enfant ou un adolescent.

La Californie rejoint désormais la liste des états, dont l'Illinois et le Michigan, qui disposent de législations similaires, mais les éditeurs ont déjà réussi dans le passé à faire abroger de telles lois, notamment dans le Missouri, l'état de Washington et l'Indiana.

Il faut se souvenir que l'industrie du jeu vidéo génère chaque année un chiffre d'affaire global de plus de 10 milliards de dollars..."

Hasta la vista..baby...mdrrrr


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#6 09-10-2005 20:34:10

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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

mdr sharzy se rachete une bonne conduite?


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#7 13-10-2005 07:41:00

theesound
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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

vu et Lu sur le site GenerationNT

"Ce n'est pour l'instant qu'une rumeur mais il semblerait bien que la FNAC, le célèbre marchand de " biens culturels ", soit tenté par le lancement d'un service de téléchargement " illimité " de musiques. Ce nouveau service se ferait sur la base d'un abonnement de 15 euros par mois. Un tarif purement estimatif...

On ne sait encore rien sur le catalogue, le type de DRM et quels baladeurs seront compatibles avec les fichiers proposés. La FNAC serait actuellement en discussion avec trois Majors et ne lancerait ce service que début 2006.

"Il s'agit avant tout de bien amorcer cette nouvelle offre car la viabilité dépendra de l'attitude des majors et des labels indépendants" précise le service de presse de la Fnac. (Lire cette news)

La FNAC a déjà lancé son service de téléchargement FnacMusic il y a tout juste un an. Fort d'un catalogue de 500.000 titres, la formule ne rapporterait pourtant que 20 % du chiffre d'affaire. Est-ce la raison qui a poussé ses dirigeants à proposer ce nouveau service ?

Le modèle Américain

Cette offre forfaitaire qui permet à l'abonné d'écouter ou de télécharger un nombre illimité de chansons chaque mois pour un tarif unique existe déjà aux Etats Unis. Il y a Napster avec Napster To Go, RealNetworks avec Rhapsody ou encore Yahoo avec Yahoo Music. Ils ont chacun lancé leurs offres d'abonnement qui avoisinent les 10 à 15 dollars mensuels.

Des nouveaux clients ?

Ce nouveau service serait peut-être aussi un moyen de trouver de nouveaux clients, plus enclins au téléchargement illégal et gratuit, en les attirant en quelquesorte vers une formule plus alléchante.... Mais ça, c'est une autre histoire...."

Peut être une première avancée, c'est vrai qu'il faut payer mais je pense qu'ils ont tout intéret à lancer des offres de ce genre, on a bien vu avec les forfaits internet et même téléphonique l'importance que cela a eu, donc à suivre...


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#8 13-10-2005 09:04:40

dusklight
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Re : vu, et lu sur = Le topic des bonnes et des mauvaises nouvelles

mon dieu, où va le monde big_smile déjà scharzy qu'il ait été élu ça me sidère mais de là à interdire les jeux vidéos violents aux enfants et adolescents c'est vraiment se foutre de la gueule du monde. Je ne me souviens pas avoir vu un seul film non violent de ce gars. Même dans "jumeau" il joue un violent c'est pour dire. Bref, l'amérique dans toute sa splendeur avec ses présidents acteurs et ses fanatiques aux pouvoirs, bravo. Je plains la population qui n'a rien demandé de tout ça. La violence et le cul ça doit bien rapporter plus de la moitié de tous les bénéfices pour les films comme pour les jeux vidéo. C'est pour quand la télé où faut scanner son âge pour voir certaines émissions ... wink

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