J'ai cru voir la lumière du bout du tunnel, mais hélas, c'était le train ...
merde, j'espère que t'as pu éviter la collision.
à propos de train, ça me fait penser à cette scène fabuleuse dans le film "l'echelle de Jacob", où il se retrouve dans un tunnel (de métro) et le métro manque de lui passer dessus. et après s'être jeté contre le mur, il voit le métro passer, avec des silouettes étranges dedans.as-tu vu des choses étranges dans ce train ?
content de te lire un peu, en tout cas, m'sieur Rimbaudelaire.
Physiquement, j'ai pu éviter la collision, mais j'ai ensuite pu voir les silhouettes de Fred Chichin et Catherine Ringer, dans ce train, ce petit train. Et mentalement, je n'ai pu éviter la collision ... d'où le thème du poème .
]]>J'ai cru voir la lumière du bout du tunnel, mais hélas, c'était le train ...
merde, j'espère que t'as pu éviter la collision.
à propos de train, ça me fait penser à cette scène fabuleuse dans le film "l'echelle de Jacob", où il se retrouve dans un tunnel (de métro) et le métro manque de lui passer dessus. et après s'être jeté contre le mur, il voit le métro passer, avec des silouettes étranges dedans.
as-tu vu des choses étranges dans ce train ?
content de te lire un peu, en tout cas, m'sieur Rimbaudelaire.
]]>Sinon, pour la stucture du poème, j'ai opté pour le pantoum, comme dans "Harmonie du soir" de Baudelaire :
Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
(Spleen et Idéal, XLVII - Edition de 1861)
]]>Serai-ce le bout du tunnel ?
]]>Mais ça valait le coup d'attendre...
Un monument (aux morts) ce texte !!!! :mdr)
Très content de te relire à nouveau :salut:
]]>Impromptu nasillard (2010)
Sur son nid d'barbelés mon cerveau se détisse;
Holocauste aux amours se consumant sans fin,
De vols low cost il rêve en savourant enfin,
Les doux produits locaux de ta beauté métisse ...
Holocauste aux amours se consumant sans fin,
Nimbé de cauchemars nazis, soûl il esquisse,
Les doux produits locaux de ta beauté métisse,
Sur du papier d'Asie au parfum superfin ...
Nimbé de cauchemars nazis, soûl il esquisse,
Ton p'tit corps dénudé doux comme un séraphin,
Sur du papier d'Asie au parfum superfin ...
Oh! ton étoile jaune ! Eh ! ta croupe réglisse !
Ton p'tit corps dénudé doux comme un séraphin,
Dans un train plein de fiel, vers l'horizon il glisse !
Oh! ton étoile jaune ! Eh ! ta croupe réglisse !
Elle orne l'abat-jour d'un marchand aigrefin ...